11. Ouvrages de référence
Les ouvrages mentionnés ici sont les principales sources de référence pour la rédaction et la publication des textes qui ont servi à élaborer le Code de rédaction interinstitutionnel.
Les ouvrages mentionnés ci-après sont les principales sources de référence pour la rédaction et la publication des textes qui ont servi à élaborer le présent document:
dictionnaires Larousse;
dictionnaires Le Robert;
Code typographique — Choix de règles à l’usage des auteurs et professionnels du livre, 16e édition, Fédération CGC de la communication, Paris, 1989;
Grevisse, M., et Goosse, A., Le bon usage, 16e édition, De Boeck Supérieur, Paris LouvainlaNeuve, 2016;
Jouette, A., Dictionnaire d’orthographe et d’expression écrite, éditions Les Usuels, Paris, 1994;
Hanse, J., et Blampain, D., Nouveau dictionnaire des difficultés du français moderne, 5e édition, De Boeck, Louvain-la-Neuve, 2005;
Glossaire d’abréviations multilingue, Conseil de l’Union européenne, Office des publications officielles des Communautés européennes, Luxembourg, 1994;
Mémento alphabétique de l’Office des Nations unies, service des publications, Genève, 1982;
Le livre — Conception, technique, fabrication, Office des publications officielles des Communautés européennes, Luxembourg, 1991;
Introduction aux méthodes de publication — La place de la PAO aujourd’hui, Office des publications officielles des Communautés européennes, Luxembourg, 1992;
Eurolook — Un Eurolook pour nos documents, Commission européenne, Office des publications officielles des Communautés européennes, Luxembourg, 1993;
Formulaire des actes établis dans le cadre du Conseil de l’Union européenne, secrétariat général du Conseil, Bruxelles, 2015;
Guide pratique commun du Parlement européen, du Conseil et de la Commission à l’intention des personnes qui contribuent à la rédaction des textes législatifs de l’Union européenne, Office des publications de l’Union européenne, 2015;
Manuel commun pour la présentation et la rédaction standard des actes soumis à la procédure législative ordinaire (Parlement, Conseil, Commission), édition de janvier 2018.
Beaucoup de termes spécifiques ne figurent pas dans les dictionnaires généraux, mais font l’objet de glossaires particuliers (dont ceux qui ont été confectionnés par les institutions de l’Union européenne). Les banques de données linguistiques (comme la base interinstitutionnelle IATE) fournissent, dans bien des domaines, un très grand nombre de réponses très utiles. Néanmoins, comme la fiabilité des données peut être très variable, il convient de considérer ces banques terminologiques avant tout comme de simples outils documentaires.
On veillera à ce que les nouvelles entrées faites dans lesdites bases et, lors de leur réédition, dans les divers ouvrages de référence établis par les institutions soient rendues conformes aux règles d’écriture contenues dans le Code de rédaction.
Les ouvrages de référence n’apportant pas toujours une réponse unique à certains problèmes de langue, un choix conventionnel est parfois nécessaire en faveur d’un type déterminé d’écriture, afin que tous les textes puissent être présentés de manière uniforme:
mot clé (et non «mot clef»)
offshore (et non «off shore» ou «off-shore»)